Albi Jazz Festival 2023
Sous le chapiteau du « Magic Mirrors », du jazz en toute liberté
Durant le festival, il n’est pas besoin d’attendre le soir pour savourer une tranche de jazz ! Au pied du Grand Théâtre, le chapiteau du « Magic Mirrors » avec ses loges en bois, son bar et son espace restauration, offre au public une multitude de propositions artistiques gratuites : du 19 au 22 janvier dès 12h30 il pourra marquer une parenthèse gourmande et musicale avec les concerts pause déjeuner. Du 18 au 21 janvier à 19h, place aux apéros concert puis, à 21h aux concerts et à 23h aux improvisations musicales, les jams session. Si vous faites le compte, c’est près de trente heures de musique jazz gratuites, pendant quatre jours.
4 grands concerts au Grand Théâtre
Tarifs : carte SNA 18/14€, normal 30€, réduit 25 € et moins de 12 ans 10€.
Réservations : 05 63 38 55 56 ou sur albilletterie.fr
- Macha Gharibian trio et Thomas de Pourquery & Supersonic
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Pianiste, chanteuse, compositrice et productrice, Macha Gharibian s’est forgé un style urbain personnel, moderne et métissé, entre jazz oriental, musique néo-classique et pop aventureuse. Figure de proue d’une nouvelle énergie jazz en France, le groupe « Supersonic » du célèbre Viking du jazz Thomas de Pourquery est sur la scène d’Albi Jazz. Fort de deux albums qui ont marqué les esprits, cet électrisant sextette fait exploser les frontières entre jazz, rock progressif, pop ouvragée, funk psychédélique ou encore musique africaine.
Mercredi 18 janvier à 20h30 au Grand Théâtre
- Lionel Suarez trio Gardel et Frédéric Robert quartet
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Imprégné de l'univers musical de Carlos Gardel, père du tango, dans un esprit de musique de chambre acoustique, le « Lionel Suarez Trio Gardel » revisite les milongas du compositeur et chanteur argentin dans un souci d’épure et dans un hommage vivant et contemporain. Les quatre jazzmen talentueux du « Frédéric Robert Quartet » proposent pour leur part un voyage musical à travers les meilleures mélodies du jazz brésilien, guidés par le charme et la vivacité du scat de la jeune chanteuse Elora Antolin.
Jeudi 19 janvier à 20h30 au Grand Théâtre
- Pierre de Bethmann trio et Airelle Besson quartet
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Le pianiste virtuose Pierre de Bethmann et ses musiciens non moins émérites Nelson Veras (guitare) et Sylvain Romano (contrebasse), explorent toutes les richesses d’un répertoire issu de multiples traditions musicales. De Schumann à Vian, de Brassens à Stevie Wonder, de Cole Porter à Sam River, chacune de leurs relectures est une leçon de raffinement et de sensibilité. Lauréate des prix Django-Reinhardt de l’Académie du jazz et des Victoires du Jazz, la trompettiste mais aussi productrice et arrangeuse Airelle Besson incarne le renouveau du jazz français. À la tête de son quartet qui réunit la chanteuse Isabel Sörling au chant, le pianiste Benjamin Moussay et le batteur Fabrice Moreau, elle déploie un jeu clair et puissant, au service de l’émotion et de la musicalité. Un voyage sensuel qui ravira autant les amateurs de jazz que les néophytes.
Vendredi 20 janvier à 20h30 au Grand Théâtre
- Harrison Kennedy, Jean-Jacques Milteau, Vincent Ségal, Théo Ceccaldi Quintet
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C’est un trio d’exception, composé de grands artistes de la scène internationale, qui ouvre la soirée. Celui-ci rassemble le chanteur et musicien de banjo Harrison Kennedy qui a partagé la scène internationale avec Stevie Wonder, Georges Harrison ou encore Tom Jones. À ses côtés, le maître harmonica, Jean-Jacques Milteau qui a collaboré lui aussi avec de nombreux artistes prestigieux et le « violoncelliste aux multiples cordes » Vincent Sega qui a entraîné son instrument dans tous les registres : classique, jazz, reggae, afro-beat, rock, chanson et musiques africaines. Sur scène, ces trois musiciens dépassent les frontières et inventent de nouveaux territoires au blues. Élu successivement Musicien français de l’année par Jazz Magazine, puis Révélation de l’Année aux Victoires du Jazz, Théo Ceccaldi s’impose aujourd’hui comme l'un des musiciens de la nouvelle scène jazz européenne. Entouré de Laura Perrudin à la harpe, Robinson Khoury au trombone, Auxane Cartigny aux claviers, Julien Loutelier à la batterie, il crée une musique originale, entre folk et jazz rétro futuriste.
Samedi 21 janvier à 20h30 au Grand Théâtre
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